7, c’est le nombre d’année que les jumeaux ont pu passer avec leur parents avant de se voir abandonnés chez cette affreuse tante. Tante qui se servira d’eux comme de servants, comme de moins que rien. A ces yeux, nous n’étions pas des enfants issus de sa famille, mais des petites mains qui travaillerait à sa place alors qu’elle dormirait dans cet affreux fauteuil rouge. 7 encore, c’est le nombre d’année que nous avons passés dans cette horrible maison, sous les griffes de cette dame. Et pendant ces sept ans, si peu de choses ont changés. Bien sur, nous avons grandis, nous avons appris, mais quoi d’autre ? Aucun amour, aucune compassion si ce n’est ce lien entre nous qui se renforçait de jour en jour.

150.000, c’est le nombre de pourcent à combien l’aîné estime le courage de Rian. Si jeune et pourtant si téméraire. A côté d’elle, il était bien plus à l’état brut, sans trop de finesse. Alors qu’elle sautait des classe et qu’elle avançait dans la scolarité normale pour aller plus loin, plus haut, lui choisis la voix moins traditionnel. Une fois passé le portail de la petite maison de la vieille dame, la liberté semble peut à peut nous gagner.

16, c’est l’âge qu’avait les jumeaux en partant définitivement de chez leur bourreau. Pour aller ou ? Ils n’en savaient rien, mais Ryun avait une confiance aveugle en sa sœur, et la suivrait au bout du monde si il le fallait. Le bout du monde n’avait pas été si loin que ça, si on prend ce vieux café abandonné depuis deux ans comme celui qu’il est censé être : leur source de liberté.

13, c’est le nombre de mois qu’il fallut à Ryun pour reconstruire cet édifice avec l’aide du père d’une jeune et charmante demoiselle avec qui il s’entend à merveille. Lorsque la dernière lettre lumineuse fut accroché, leur bâtisse était éclairé d’un magnifique «cat’s eyes». 10 fut le nombre de mois qu’il fallut attendre aux jumeaux pour voir leurs premiers clients arrivés, et ce fut également le nombre de mois qui lui permirent de découvrir chez le frère un talent qu’il ne doutait pas. Avec ce vieux piano du café et son oreille absolue, l’instrument devient son ami, sa façon de s’exprimer, et quand la douce voix de sa sœur accompagne les notes sèches du vieil instrument, le cat’s eyes se remplis d’une douce mélodie jazzy, ou certains dansent et d’autre mangent.

125, c’est le nombre de fois qu’il est aller chasser pour assouvir son envie de maitriser son pouvoirs. Pendant ces parties de chasse en compagnie de son binome, l’ainé profite pour déployer cette énergie qu’il à en lui, qu’il à besoin d’extérioriser. La chasse est une partie de plaisir, et la cible n’est qu’un pion à son jeu. La partie n’est pas finis, mais quand a t-elle commencer ?

1 456.201.478, c’est le nombre de bons souvenirs qu’il veut à présent se forger. Il veut s’imprégner de cette liberté, de son travail et de ses plaisirs. Il veut s’imprégner de ces rencontres, de ces sentiments, de ses peines, de ses joies, de ses réussites et de ses échecs.